Importance de la création d'un serment d'Hippocrate pour les ingénieurs logiciels

Dans une interview d’octobre 2019 avec Jasper Kuria , Brad Smith; Le président de Microsoft et co-auteur d’un best-seller du New York Times aexpliqué pourquoi le monde a besoin de toute urgence d’une Convention de Genève numérique et d’un serment d’Hippocrate pour les ingénieurs en logiciel. La nécessité d’un nouveau champ d’éthique pour l’IA

Tools and Weapons: The Promise and the Peril of the Digital Age de Brad Smith et Carol Ann Browne est sorti en septembre 2019 de Penguin Random House avec une préface de Bill Gates. Dans leur livre, Brad Smith et Carol Ann Browne ont écrit que si quelquechose est nouveau et pas encore illégal (parce que la loi n’a pas rattrapé la technologie), mais confère un avantage concurrentiel décisif, les gens ont tendance à le faire.

Par exemple, Facebook a décidé dès le début d’utiliser les données, maisil souhaitait atteindre une position dominante sur le marché. Payer uneamende de 500 $ par transgression n’était pas un problème tant que cela
aidait Facebook à atteindre cet objectif.Mais Smith croit fermement qu’en tant que première génération d’humains àdoter les ordinateurs de la capacité de prendre des décisions, nous devons décider comment nous voulons que les machines prennent ces décisions en consultant un code éthique.

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_**«Presque tout le monde dans ce pays a vu un film qui a la structure d’intrigue de base suivante: L’humanité invente la machine qui peut penser. La machine pense. La machine décide d’asservir ou de détruire l’humanité. L’humanité passe le reste du film à essayer d’éteindre la machine. »**_ Un serment d’Hippocrate pour les développeurs de logiciels

Il y a environ deux ans, Microsoft posait publiquement une question pour la première fois: _**«Devrait-il y avoir un serment d’Hippocrate pour les développeurs de logiciels créant des systèmes d’IA comme il y en a
pour les médecins?»**_. Vous ne pouvez pas obtenir votre diplôme de l’Air Force Academy sans suivre un cours d’éthique. Dans l’armée, il y aun code de justice et il y a des gens dont le seul travail est de s’assurer que ce code est suivi, même si cela ne signifie pas que l’armée ne fait aucune erreur. Il n’existe pas de code d’éthique commun pour déterminer comment les armes et les systèmes autonomes létaux développés pour l’armée devraientêtre utilisés une fois qu’ils se retrouvent entre les mains de civils.

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